Conseils généraux
La construction d’un trottoir, d’une entrée de garage, d’un patio ou d’un escalier est un projet intéressant d’aménagement paysager. Le présent feuillet vous explique comment vous y prendre, étape par étape, et il est écrit spécialement à l’intention des débutants. Béton Mobile Sirosol pourra vous aider de ses judicieux conseils.
Il y a beaucoup de points communs entre les méthodes de construction des trottoirs, entrées de garage, patios et escaliers. Nous donnons ci-dessous les méthodes de construction en général en ajoutant des commentaires spéciaux au besoin. Il se peut que les règlements locaux régissent les constructions de ce genre; c’est un point qu’il vous faudra vérifier soit dans le Code de construction locale, soit auprès du Service des permis de construction de votre municipalité. Les trottoirs, entrées de garage, patios et escaliers exigent du béton de la même qualité et on utilise généralement les mêmes textures de finition sur toutes les surfaces.
Dans les trottoirs, entrées de garages et patios de béton, il faut contrôler la fissuration au moyen de joints bien planifiés.
Les joints de retrait permettent de contrôler la fissuration. Avec des outils à rainurer le béton plastique, on entaille la dalle sur un quart de sa profondeur. S’il est nécessaire de pratiquer des joints dans du béton durci, on procédera par sciage. Entre deux constructions différentes, on laisse un joint d’isolation, tandis qu’on laisse un joint de construction aux endroits où on a interrompu la mise en place du béton; si on enduit ces joints d’agent anti-adhésion, comme de l’huile, ils joueront le rôle de joints de retrait.
Planification et préparation
Trottoirs
La largeur d’un trottoir dépend de sa localisation et de son usage elle doit donc être déterminée selon la préférence de chacun, le type d’aménagement, la fréquentation, les règlements locaux ou de l’organisme prêteur. Il faut accorder un soin particulier au choix de la largeur du trottoir, car il existe une relation, bien que subtile, entre sa largeur et son utilité et aussi sur l’apparence de l’aménagement.
Les trottoirs ont en général 100 mm d’épaisseur, mais il sera nécessaire de les faire plus épais si on prévoit qu’ils seront fréquemment traversés par des camions. Pour fins de drainage, la surface du trottoir doit avoir une pente de 20 mm/mètre.
Les panneaux formés par les joints de contrôle doivent se rapprocher de la forme d’un carré. Les panneaux dont le rapport longueur sur largeur excédant 1½ dans 1 sont sujets à la fissuration. Il faut prévoir des joints d’isolation aux endroits où le trottoir est en contact avec la maison, le porche, l’entrée de garage, les bordures, les escaliers ou d’autres constructions. Il n’est pas nécessaire de construire des joints d’isolation à intervalles réguliers dans un trottoir droit.
Patios
La forme d’un patio peut varier selon le goût et l’imagination de chacun : carrée, en losange, rectangulaire, circulaire ou autre. Son étendue peut servir à mettre en valeur les arbustes, haies ou autres éléments paysagers déjà en place. Il existe une règle qui suggère de faire le patio plus grand que la plus grande pièce de la maison. Une dalle de patio doit avoir une épaisseur minimale de 100 mm et on doit pratiquer des joints de retrait à tous les 3 m dans les deux directions.
Entrées de garage
Pour une seule voiture, on prévoit généralement une largeur de 2,4 à 3 m; pour deux voitures, on compte habituellement 4,5 à 5,4 m. Il faut augmenter la largeur de l’allée dans les courbes, parce que les roues arrière ont un rayon de braquage inférieur à celui des roues avant. Si l’entrée de garage pour deux voitures est courte, on construira généralement toute l’entrée de double largeur; si l’entrée est longue, on pourra la construire de largeur simple, puis l’élargir en approchant du garage. Les entrées doivent aussi avoir une pente pour fins de drainage de 20 mm/mètre.
Une entrée de garage devrait avoir 100 mm d’épaisseur. Si on prévoit que des camions d’huile ou autres circuleront sur l’allée, il vaut mieux prévoir une épaisseur de 125 mm. Les joints de retrait transversaux devraient avoir un espacement maximal de 3 m. Dans le cas d’une allée large de 3,6 m ou plus, on aura aussi besoin de joints de contrôle longitudinaux. Le joint longitudinal peut être renforcé de barres d’armature pour éviter qu’il ne s’ouvre. On recommande l’utilisation de barres #10M de 900 mm de longueur, espacées d’environ 1 m.
S’il existe une dénivellation considérable sur une courte distance entre le plancher du garage ou du stationnement et le niveau de la rue, la pente de l’entrée devient critique. Elle ne devrait pas dépasser 14 %. Dans le cas où il faut incurver cette pente, il faut le faire aussi graduellement que possible pour éviter que le fond des voitures ou le pare-choc n’accrochent le trottoir ou le point haut de l’entrée. Au cours de l’étape de la planification, on peut envisager la possibilité d’agrandir la surface bétonnée, pour augmenter l’espace de stationnement, pour pourvoir une aire de demi-tour, ou tout simplement pour constituer un terrain de jeux.
Escaliers
Lorsqu’un trottoir menant à l’entrée d’une maison se termine par un escalier, celui-ci est généralement un peu plus large que le trottoir lui-même. Pour des raisons de confort et de sécurité, on prévoit des paliers à toutes les cinq ou six marches; un palier doit avoir au moins 1 m de longueur. Pour un escalier rattaché à la maison, les exigences généralement reconnues sont les suivantes : la somme des dimensions du giron et de la contre-marche doit être égale à environ 470 mm, la contre-marche ne doit pas excéder 190 mm, le giron doit être d’au moins 280 mm, la dimension du nez de la marche doit être ajoutée à celle du giron.
Lorsqu’un escalier est plus éloigné de la maison, les personnes ont tendance à faire de plus grandes enjambées et les règles ci-dessus sont à modifier de la façon suivante : la somme des dimensions du giron et de la contre-marche doit être égale à environ 660 mm, la contre-marche ne doit pas excéder 150 mm, le giron doit être d’au moins 300 mm, la dimension du nez de la marche doit être ajoutée à celle du giron.
Si l’escalier sert simplement à franchir un talus dans la cour, il n’a pas besoin d’aucune fondation spéciale. Toutefois, si l’escalier aboutit à la porte de la maison ou s’il est raccordé à un porche muni de fondations, il est alors nécessaire de l’appuyer sur des fondations de béton de profondeur suffisante pour échapper au gel.
Une autre solution consiste à araser les murs latéraux au niveau du terrain de façon à ce que le fond de la contre-marche soit au même niveau que le terrain. Il sera ainsi plus facile de tondre le gazon et aussi plus facile de déneiger les marches.
Préparation et nivellement de l’assise
On commence par enlever suffisamment de terre pour que le dessus de la dalle soit légèrement plus haut que le sol adjacent. On doit enlever toute terre végétale, végétation, bois, grosses pierres, et tout matériau meuble ou difficile à compacter. Remblayer ensuite avec un matériel convenable qui fournit une assise uniforme.
Ensuite, on nivelle et on compacte le sol, au moyen d’une dame ou d’un rouleau lourd, jusqu’à obtenir une densité homogène. Ces exigences sont évidemment plus importantes pour une entrée de garage que pour un trottoir ou un patio. L’utilisation de matériaux de remblai granulaires comme du sable, du gravier ou de la pierre concassée facilitera la précision du nivellement. Si l’on construit sur de l’argile, il faut imbiber l’assise plusieurs jours avant la mise du béton.
Coffrages
On construit fréquemment les coffrages latéraux en pièces de 38 mm x 89 mm. On les place selon la forme choisie et on les cloue solidement sur des piquets bien enfoncés dans le sol. Ces piquets ne devraient pas être espacés de plus de 1,2 m et il devrait y en avoir un derrière chaque joint pour assurer le bon alignement des coffrages.
Pour la réalisation des courbes horizontales on peut courber des pièces de bois épaisses en les sciant sur la moitié ou les deux tiers de leur épaisseur. Dans les courbes, les piquets devraient être plus rapprochés pour bien maintenir la forme et le niveau du coffrage.
Dans les courbes verticales, là où une entrée de garage change de pente, on utilise des courts morceaux de 38 mm x 89 mm pour faire le coffrage. On utilise une corde attachée à des piquets temporaires pour dessiner la forme de la courbe, puis on installe le coffrage le long de cette ligne, en essayant d’obtenir une variation la plus graduelle possible de la pente.
Après avoir installé les coffrages, on vérifie s’ils pourront recevoir l’épaisseur désirée de béton. On utilisera un gabarit, que l’on fera glisser au sommet des coffrages pour niveler le matériau d’assise et s’assurer que le béton aura une épaisseur uniforme.
Durabilité
Des études poussées, au laboratoire comme au chantier, ont démontré que de l’air entraîné et un faible rapport eau/ciment sont nécessaires pour le béton des ouvrages extérieurs, si l’on veut que ceux-ci résistent à l’écaillage en raison des cycles de gel et de dégel, spécialement aux endroits où des sels de déglaçage sont utilisés.
Il est donc important de spécifier la bonne quantité d’air entraîné, de ciment et d’eau pour le béton utilisé à l’extérieur.
Pour commander le béton
Ne commandez pas plus de béton que ce que vous pouvez placer et finir en trois heures. Vous aurez besoin de l’aide d’au moins une autre personne. Pour bétonner de grandes dalles, il vaudrait mieux que vous ayez l’aide de deux autres personnes. Si vous n’avez aucune expérience dans la mise en place du béton, ne commandez pas plus que 2,5 m3 de béton à la fois.
On calcule la quantité à commander en m3 en ajoutant une marge de 20 % pour les inégalités de l’assise, les pertes, etc. Toutefois, en utilisant les services de Béton Mobile Sirosol, nul besoin de justifier une marge de 20 % puisque notre béton prêt à l’emploi est mélangé sur place, à votre demande, à l’endroit et à l’heure de livraison du béton. Il vaut mieux placer sa commande au moins une journée d’avance.
Bétonmobile.com connaît les quantités de ciment et de pierre nécessaires pour produire un béton dont l’affaissement donnera la meilleure ouvrabilité. De plus, toutes les composantes du mélange, de même que sa fabrication et son transport, sont régis par des normes nationales, que votre fournisseur de béton prêt à l’emploi s’est engagé à respecter.
Mise en place du béton
Soyez prêt pour la mise en place, la finition et le mûrissement du béton lorsque la bétonnière mobile arrive. Le béton doit être placé dans les coffrages et compacté ou consolidé moins d’une heure et demie après que l’eau ait été ajoutée au mélange. Par temps très chaud, ce délai est encore plus court.
Arrosez le sol et les coffrages juste avant la mise en place du béton. De cette façon, le béton gardera son eau et sera de meilleure qualité. Toutefois, il ne devrait pas y avoir de flaques d’eau, de parties boueuses et molles dans l’assise au moment de la mise en place du béton.
Vous aurez besoin d’une bonne brouette pour transporter le béton du bas de la goulotte du camion au point de mise en place. Vous pourrez en louer une d’une entreprise locale de location d’équipement de construction. Le camion-malaxeur est très lourd et il ne devrait pas reculer sur une entrée de garage ou de trottoir. Si vos travaux se font à un endroit particulièrement difficile d’accès, demandez au fournisseur de béton de vous conseiller sur les techniques de transport à utiliser. La mise en place et la finition du béton sont des travaux extrêmement exigeants, on a donc avantage à avoir plusieurs hommes costauds sur le chantier.
Remplissez le coffrage sur toute sa hauteur. Pour compacter le béton à la main, on se sert d’une bêche carrée, avec laquelle on tasse le béton le long des coffrages. Puis on utilise une planche rigide que l’on fait glisser sur le sommet des coffrages avec un mouvement de va-et-vient pour régaler la surface de béton et la couper à l’élévation voulue.
Répéter cette opération une deuxième fois pour aplanir toute bosse qui pourrait s’y trouver. Avant ce deuxième passage, il faut rajouter du béton dans les creux, pour obtenir une surface uniforme prête pour les opérations de finition.
L’équipement de compaction et de réglage mécanique est généralement constitué d’un vibrateur fixé à une paire de taloches de réglage.
Finition
Immédiatement après le compactage, on passe l’aplanissoir d’avant en arrière sur la surface de béton pour la rendre lisse et éliminer les irrégularités. Cette opération sert aussi à faire monter à la surface assez de mortier pour faciliter la finition.
Cependant, il faut éviter de trop travailler la surface, ce qui nuit à sa durabilité. Pour effectuer ce travail sur de petites surfaces, on utilise une taloche à main.
Immédiatement après le régalage, on passe une truelle le long de tous les coffrages sur une profondeur d’environ 25 mm.
On ne commence les opérations de finition des bordures et joints et de lissage des surfaces qu’une fois que le béton a commencé à durcir et qu’il ne reste plus d’eau de ressuage sur la surface.
On commence la finition quand il n’y a plus d’eau libre à la surface et que le béton peut supporter le poids du pied en ne gardant qu’une empreinte de quelques mm.
D’abord, on forme une première fois les bordures avec un fer de petit rayon (12 mm ou moins). On doit passer le fer tout au long des coffrages, y compris des pièces de bois qu’on veut laisser comme joints. Si l’on trace les joints à la main au moyen d’un fer, le travail se fait en même temps que celui des bordures. La finition des bordures et des joints se fait en même temps que celle des surfaces.
Les joints de contrôle doivent avoir un espacement maximal de 3 m dans toutes les directions. Il est bon d’indiquer l’emplacement de ces joints sur les coffrages, avant de commencer la mise en place, au moyen de cordeaux tendus ou de planches droites.
Les joints sont faits, soit avec un fer à rainurer, quand le béton a commencé sa prise, soit avec une scie à béton après qu’il est durci, soit en fixant aux coffrages des baguettes de séquoia ou de cèdre de 19 mm x 89 mm ou de 38 mm x 89 mm, qui resteront encastrées dans le béton. Ces baguettes seront retenues par des piquets de bois qu’on devra retirer après le régalage, mais avant que le béton ne durcisse. Si l’on compte enlever ces piquets, il ne faut pas y clouer les baguettes. Par contre, si l’on veut laisser les piquets en place, il faut les enfoncer ou les scier à 50 mm sous la surface du béton fini.
On peut choisir de conserver comme texture finale la texture relativement lisse, sans être glacée, produite par l’aplanissoir. On obtient un apparence attrayante en faisant décrire des arcs de cercle à l’aplanissoir à main. Cette opération de lissage final a lieu après que le béton a commencé à durcir. Pour circuler et s’agenouiller sur la surface de béton, on y installe des planches de 125 mm x 600 mm. Le finisseur exécute de grands mouvements en arc de cercle, en progressant à reculons.
Si l’on préfère une texture rugueuse sans marques laissées par l’aplanissoir, on passera un balai mouillé sur la surface. Le béton doit être assez dur pour que les marques laissées par le balai y demeurent. Selon, la dureté des fibres du balai, on obtiendra des textures plus ou moins rugueuses.
Si l’on désire une surface vraiment lisse, on se sert d’une truelle d’acier après l’aplanissage. Toutefois, un fini lisse est rarement souhaitable sur des surfaces extérieures comme des trottoirs et des patios. On recommande de ne pas y avoir recours dans ces cas. La raison en est que pour obtenir ce fini lisse, on a tendance à trop régaler et lisser la surface, alors que le béton n’a pas encore assez durci. Toute construction extérieure est soumise à des températures extrêmes. Un truellage prématuré ou excessif affaiblit la surface qui aura tendance à s’écailler, à se fissurer et à produire de la poussière.
Lavez vos outils à l’eau aussitôt que vous aurez terminé.
Finis et motifs spéciaux
En plus des types de finition que nous venons de mentionner, il est possible de finir le béton selon une grande variété de textures et de motifs. On peut colorer la surface, soit en ajoutant des pigments au mélange de béton, soit en exposant des granulats colorés à la surface. On peut graver ou étamper des motifs géométriques dans le béton pour lui donner l’apparence de la pierre, de la brique ou des pavés. On peut créer d’autres motifs intéressants en noyant des pièces de bois dans la surface, pour former des surfaces de forme très variées : rectangles, carrés, losanges, etc. Il existe des techniques pour produire une surface antidérapante, ou au contraire, luisante. En fait, les possibilités sont illimitées.*
* Voir « Finishing Concrete Slabs » Portland Cement Association IS206.T
Mûrissement
Le béton développera toute sa force et sa résistance s’il est mûri dans des conditions soigneusement contrôlées. Cela suppose que le béton doit être conservé continuellement humide pendant une période d’au moins 7 jours. Il existe diverses façons d’y arriver :
Aussitôt que le béton a durci, on l’arrose au boyau et on le recouvre d’un papier imperméable ou d’un polyéthylène maintenu en place par des pesées, destiné à empêcher l’évaporation. Une autre façon de garder la surface humide consiste à l’arroser avec des gicleurs, à la noyer ou à la couvrir de toiles de jute que l’on arrose de temps à autre. Pour les travaux effectués avant la mi-septembre, on peut utiliser des produits de mûrissement liquides qui forment une membrane imperméable sur la surface où ils sont vaporisés.
Préparation pour le premier hiver
En plus de l’addition d’air entraîné et de la période de mûrissement humide, le béton aura besoin d’au moins 30 jours de séchage à l’air pour développer une bonne résistance aux produits chimiques utilisés pour faire fondre la glace. Si la saison est trop avancée pour permettre ce séchage avant l’hiver, on pourra sceller la surface avec un traitement qui permet au béton de « respirer ». Un tel traitement consiste à appliquer un matériau de scellement pénétrant tel que l’huile de lin bouillie, du silane, du silicone, du méthacrylate ou autres.
Publications connexes
Le lecteur pourra aussi se procurer les publications suivantes auprès de l’Association Canadienne du Ciment Portland :
Bétons pour Petits Travaux, IS174,T
Cast-in-place Walls,LT117.B
Cement Mason’s Guide, PA122.H
Comment nettoyer et faire disparaître des taches de Béton, IS214.T
Concrete Basement for residential and Light Building Construction, IS208.B
Concrete Improvements Around the Home, PA003.H
Concrete Slab Surface Defects: causes, prevention repair,IS177.T
Finishing Concrete Slabs- Exposed Aggregate, Paterns, and Colors, IS206.T
Painting Concrete, IS134.T
Resurfacing Concrete Floors,IS144.T
Small Concrete Gravity Retaning Walls, IS222.T
L’Association Canadienne du Ciment Portland (Portland Cement Association) décline toute responsabilité en tout ou en partie pour l’application des principes énoncés ou pour l’exactitude de toute source autre que celle provenant du travail fait ou des informations élaborées par l’Association.
Attention : Évitez tout contact prolongé entre la peau et le ciment non durci humide ou le béton frais. De façon à éviter un tel contact, il est prudent de porter des vêtements protecteurs : gants, bottes de caoutchouc, etc. Il faut nettoyer à grande eau toutes les parties de la peau qui ont été en contact direct avec du ciment non durci humide ou du béton frais, ou encore avec des vêtements qui en étaient imbibés.